Étape 7

E7

Noradrénaline

Revitalisation des tendons, des muscles et du système cardiaque

Exercice : Tie bu Shan
La Méditation éveille II : Svabhava-Shunyata

La compréhension et une certaine agilité à accompagner la stimulation de :

  • la dopamine
  • la sérotonine 
  • le nerf vague
  • le système cardiovasculaire
  • l’activation de la Glande Pinéale

Comprendre sur soi comment l’analogie

est au coeur de la pensé

est au coeur du développement des notre progression corpo- sesnsorielle

Rien de plus

le faire

intro et QR

a

entrainement (39′)

hypothalamus / la dopamine
Réflexion

la sérotonine 
Médit Refuge -> droit exister

nerf vague
Chaton au sol  –> étirement
Les Baleines + son  –> Tie Bu Shan

Tao Stretching 
Devenir – Unité
Méduse
Roy Singe  

Planche “jeter dans le Ciel“ + la respiration “Sssss“

ABS – respire no stress   

système cardiovasculaire
Tao 1 – respiratoire 
H-Ventilations 1 2 3 

glande pinéale
DO IN – le point Ba Hui

Inspirations étirées

QR de fin

a

au quotidien (2′)

le contact avec le froid

  • Un minute 2 fois par jour 

Deux entrainement par semaine dans l’idéal

BA HUI – L’innervation de la zone de ce point est assurée par le nerf grand occipital et par le nerf frontal.

Son irrigation est assurée par le plexus formé par l’anastomose des artères et veines temporales superficielles, ainsi que par la veine émissaire, dans la profondeur.

On peut voir sur ce dessin que le point Bai Hui est situé au centre du carré Si Shen Cong

Bai Hui
est situé au croisement de la ligne médiane du crâne et d’une ligne reliant le bout des deux oreilles. La façon traditionnelle pour trouver ce point est de placer le bout des majeurs (ou des index, selon les cas) contre le haut de l’oreille. Le point Bai Hui est là où se rejoignent les pouces.
Les index (ou majeurs) doivent être la continuité des bouts des oreilles.

Fonctions attribuées au 20ème point du Vaisseau Du Mai

 

Les fonctions traditionnellement attribuées à ce point sont :

  • D’être bénéfique à la tête et au cerveau
  • De calmer l’esprit (Shen)
  • D’élever le Yang
  • De traiter les effondrements et les prolapsus
  • D’éteindre le vent

 

Indications thérapeutiques du point 20VG 

Ce point peut être utilisé seul en acupuncture, dit « méthode thérapeutique d’acupuncture & moxibustion par un point unique »  (Zhen Jiu Du Zhong Zhi Liao) pour certains troubles (vertiges, hypertension, douleur de la plante des pieds), mais bien évidemment, aussi en combinaison avec d’autres points.

Les indications thérapeutiques de ce point concernent le traitement :

  • De l’apoplexie
  • De trismus (voir plus bas)
  • Des pertes de mémoire
  • Des maux de tête localisés au vertex (mais aussi au front et à l’occiput)
  • De sensation de chaleur dans la tête
  • De sensation de distension de la tête
  • De sensation de tête lourde
  • Des tremblements de la tête
  • Des vertiges
  • Des acouphènes
  • De la surdité
  • De la vision trouble
  • Des obstructions nasales
  • De la rhinite
  • De la sinusite
  • Du prolapsus anal
  • Du prolapsus de l’utérus
  • Des hémorroïdes
  • De l’hypertension
  • Des hémiplégies
  • Des insomnies
  • De l’agitation mentale
  • Des troubles mentaux
  • Des états de choc
  • De douleur de la plante des pieds

20VG est localisé au sommet de la tête, le point le plus Yang du corps. Il a par conséquent un profond effet pour réguler le Yang, aussi bien lors d’un excès que d’une déficience de Yang.

Le vent interne est un pathogène Yang caractérisé par de vigoureux mouvements ascendants et il est le plus souvent généré par un déséquilibre du foie. Bai Hui est capable de faire descendre des manifestations du vent interne tels que :

  • Vertiges
  • Acouphènes
  • Maux de tête
  • Douleurs au vertex
  • Opisthotonos
  • Trismus (contraction constante et involontaire des muscles de la mâchoire)
  • Perte de conscience
  • AVC

Différents classiques déclarent que 20VG devrait être saigné lors de tels syndromes de plénitude.

La capacité de ce point à faire descendre ne doit pas nous faire oublier son importance concernant son action à nourrir le cerveau. Selon le Ling Shu (le pivot spirituel), Bai Hui est un point de la mer de moelle (cerveau).

En plus de traiter les troubles du haut du corps, 20VG est capable aussi de faire monter le Yang qui s’effondre à l’autre bout du Vaisseau Gouverneur et entrainant un prolapsus rectal. Cette action a également été étendue dans la pratique clinique moderne au traitement du prolapsus utérin et vaginal. Dans ce cas, Bai Hui est souvent traité par moxibustion.

Parmi les groupes d’indications trouvées dans les classiques concernant 20VG, il est indiqué pour les troubles de l’esprit et du cœur. Par exemple : chaleur et oppression au niveau du cœur, Jing Jing Ji (palpitations par frayeur)*, perte de mémoire, désorientation, tristesse et pleurs avec désir de mourir …
Cela coïncide avec les différentes théories de la médecine chinoise concernant la résidence de l’esprit. Certaines écoles mettent l’accent sur le cœur et d’autres le cerveau. A ce propos, le Su Wen (Questions essentielles) au chapitre 17 déclare par exemple : « la tête est la résidence de l’intelligence », et au chapitre 62 : « le cœur abrite l’esprit ».

Comme mentionné plus haut, le Vaisseau Gouverneur (Du Mai) et surtout le point Bai Hui, a une relation étroite avec le cerveau. En même temps, le trajet de la seconde branche du Du mai monte sur la face antérieure du corps et traverse le cœur.
Le vaisseau Gouverneur peut donc être vu comme le canal qui intègre ces deux théories, et 20VG peut être choisi lors de troubles psycho-émotionnels dus à une dysharmonie du cœur (palpitations, oppression au niveau du cœur …) et de la tête/cerveau (lourdeur de la tête, épilepsie, vertiges …)

 

 

Un FASTING par sémaine sera bienvenu. 

Jeûner mais qu’à moitié, c’est que ce propose la méthode leangains du jeûne intermittent 16/8. Ce régime alimentaire se divise en deux temps sur une période de 24h. Tout simplement vous disposez d’un créneau de 8 heures pour vous nourrir et le reste du temps, soit 16 heures, vous jeûnez.

cahier de travail (5′)

Je noté mes impressions (5 minutes / jour)

les outils

agenda

 

Étape 1a

La revitalisation de la disponibilité

 

Exercice Libre : apprendre à accompagner ce qui vient par le mouvement écliptique

Puis se poser et respirer … apnée basse

 

Méditation Fonctionnelle 

Et le commencement du Tantra : une expérience à vivre

Sourire Intérieur … Insouciance…  Droit d’exister… Ici exactement, rien à négocier … Calme dans la Joie profonde ; Joie dans le Calme profond

 

 

Étape 1b

L’éveil des sens et de la joie

 

Exercice Jeu prêt à rebondir : Charger pour jouer

 

La méditation éveille : Shunyata l’observation sans effort

Tout est interdépendant, jamais autosuffisant ou indépendant ; rien n’a de réalité indépendante… le contextuel

 

 

Étape 1c

La revitalisation de l’intelligence émotionnelle

 

La Méditation de l’Amour Altruiste : La disponibilité équanime

 

 

Étape 2 de revitalisation – Je développe le calme

 

Exercice Microbiote intestinal : Shank Prakshalana

 

La Méditation du Refuge : le Calme actif et la revitalisation du TONUS PHYCOLOGIQUE

Discerner et maitriser l’activité mentale et l’activité consciente

Maitriser la mécanique de la récompense

 

 

Étape 3

La revitalisation accordée des organes

 

Exercice : résonnance et voix, le Laya Yoga

 

La Méditation du Rire intérieur 

La stimulation du Nerf Vague

 

 

Étape 4

La revitalisation cérébrale et des astrocytes  

 

Exercice : Tai Chi

 

La Méditation Double Observation : une méditation ondulatoire (Yoga Nidra)

Stimulation des Atrocités et de la proprioception

 

 

Étape 5

La revitalisation du système immunitaire

 

Exercice : Yi Jin Jing

 

La Méditation de l’intelligence du Cœur : un discernement dans l’accompagnement de l’autre

Stimulation de l’Ocytocine

 

 

Étape 6

Systèmes complexes de revitalisation par la concentration et la visualisation

 

Exercice : Respirations focalisée et la résonnance de la visualisation  

 

La Grande Méditation de Avalokitésvara : Le Tantra Yoga

 

 

Étape 7

Revitalisation des tendons, des muscles et du système cardiaque.

 

Exercice : Tie bu Shan

 

La Méditation éveille II : Svabhava-Shunyata

 

 

Étape 8

Exercice : Pranayama Bastrika

 

La revitalisation de la thermogenèse 

 

La Méditation fluide du Centrage et du Feu : Tumo

La stimulation de la production des Catécholamines – neurotransmetteurs

 

 

Étape 9

La revitalisation du système nerveux central

 

Exercice : La Grande Unité : Les 9 Portes

 

La Méditation de Longchepa : l’éveil de la Vue Solitaire 

 

 

  

    Étape 10

La revitalisation générale

 

Exercice : RevitalisGym tout l’enchainement

 

Mouvement écliptique   Méditation Fonctionnelle (éveil des capacités cognitives innées) 

Exercice Attitude du Chaton  Méditation Shunyata (dynamisation de l’isotonie psychomotrice) 

Méditation de l’Amour Altruiste : La disponibilité équanime (homéostasie) 

Exercice Shank Prakshalana du Microbiote intestinal   Méditation du Refuge (sérotonine) 

Laya Yoga, voix et résonnance   Méditation du Rire intérieur (Nerf Vague) 

Exercice Tai Chi  Méditation Double Observation Yoga Nidra (Astrocytes) 

Exercice respiratoire Yi Jin Jing  Méditation de l’Intelligence du Cœur (Ocytocine) 

Exercice Respirations focalisée et visualisation  Méditation Avalokitésvara (grande homéostasie) 

Exercice isotonique Tie Bu Shan  Méditation éveille II : Svabhava-Shunyata (noradrénaline) 

Exercice Bastrika et Tumo  Méditation Tumo (Catécholamine) 

Exercice Les 9 Portes de la Grande Unité  La Méditation de Longchepa : le Tantra de la Vue Solitaire (homéostasie générale)

 

Plan d’Autonomie

Et organisation des séances au quotidien

 

Boite à … option

 

Étude sur la Méditation du Grande Silence J.K. et autonomie de la pratique RevitalisGym au quotidien

 

science

La proprioception

est l’ensemble des informations nerveuses transmises au cerveau permettant la régulation de la posture et des mouvements du corps.

Elle est parfois décrite comme un « sixième sens » de l’humain. Les informations conscientes et inconscientes proviennent de récepteurs spéciaux nommés propriocepteurs sensibles à l’étirement ou à la pression. Ils se situent dans :

  • les muscles (fuseaux neuromusculaires) ;
  • les tendons (organes tendineux de Golgi) ;
  • les ligaments des articulations (organes de Ruffini, de Golgi et de Pacini) ;
  • la peau de la paume des mains et de la plante des pieds (corpuscules profonds de Paccioni).

Le système proprioceptif intervient ainsi en permanence pour réguler notre équilibre en contractant certains muscles, par exemple sur une surface instable (sol meuble, glace, planche de surf…).

Utilisation de la proprioception dans le sport

La proprioception est utilisée par les kinésithérapeutes et chez les sportifs, car elle permet d’éviter les blessures et d’améliorer sa pratique. Un manque de réflexe proprioceptif peut par exemple être à l’origine d’entorses, les muscles de la cheville n’étant pas contractés au bon moment. Un bon équilibre va permettre à un sportif de mieux se déplacer, courir, se réceptionner, anticiper et réagir à un ballon ou à une chute.

Exemples d’exercices de proprioception

Les exercices proprioceptifs sont réalisés au sol ou avec des accessoires (ballon, plateformes d’équilibre, trampoline…). Voici quelques exemples simples :

  • sur une surface instable (coussin ou tapis mou), rester en équilibre sur un pied durant une minute ;
  • courir sur place sur un petit trampoline en levant bien les genoux ;
  • sur une plateforme instable, s’accroupir puis se lever lentement en essayant de garder l’équilibre ;
  • les mains posées au sol, en position de planche sur les orteils, lever une main puis l’autre de chaque côté. Pour plus de difficulté, cet exercice peut s’effectuer les mains sur un petit ballon.

Une passionnante exploration de notre sixième sens, la proprioception, étrangement méconnue et cependant indispensable à notre équilibre et à la coordination de nos mouvements. 

Le sixième sens n’a cessé de nourrir les fantasmes. En réalité, nous en possédons effectivement un, mystérieux et enfoui au plus profond de nous-mêmes : la proprioception. Indispensable à notre équilibre, à notre orientation dans l’espace et à la coordination de nos mouvements, pour marcher, courir ou sauter, mais aussi pour écrire ou boutonner sa chemise, ce sens méconnu est aujourd’hui exploré par la science. Si elle n’a pas d’organe dédié, comme les yeux pour la vue ou les oreilles pour l’ouïe, la proprioception résulte du traitement par le cerveau de messages nerveux, portés par des milliers de capteurs au cœur de nos muscles. Sans elle, il est impossible de marcher sans avoir à regarder ses pieds, car le cerveau ne sait tout simplement pas où ils sont dans l’espace. Ce sens est mis en lumière et sans cesse sollicité par le célèbre chorégraphe Yoann Bourgeois, qui place ses danseurs en perpétuel déséquilibre sur des plateaux tournants ou des trampolines, nous offrant d’étourdissantes démonstrations de ses capacités. Au sein de l’université d’Aix-Marseille, un laboratoire de neurosciences s’emploie à comprendre son mécanisme tandis que l’Institut des sciences du mouvement (ISM) l’étudie auprès de Ginette, l’une des cinq personnes dans le monde à avoir perdu sa sensibilité proprioceptive, à la suite d’une maladie auto-immune. La recherche dans ce domaine nous mène aussi chez les champions de la proprioception, les pilotes de la patrouille de France, qui travaillent ce sens pour effectuer des chorégraphies parmi les plus périlleuses au monde.  

La proprioception, sens méconnu décrit à la fin du XIXème siècle par Charles Sherrington (Prix Nobel de médecine en 1932) , est notre capacité à nous percevoir nous-même sans avoir recours à la vision. C’est le sens qui renseigne notre cerveau sur la position des différentes parties de notre corps entre elles, qui permet de connaître à tout moment la position de notre corps dans l’espace environnant et qui lui montre comment se mouvoir. Elle se compare à un GPS qui s’appuie sur un système de référence, semblable à une carte de notre corps en 3 dimensions, nommé schéma corporel(représentation que chacun se fait de son propre corps, sa forme, son volume).

Elle fonctionne avec des millions de petits capteurs sensoriels situés dans tous nos muscles (notamment les muscles des yeux qui en sont très riches), les tendons, les ligaments et les articulations, ainsi que dans la peau (notamment celle de la plante des pieds qui est très riche en capteurs de pression de différents types).

D’autres organes des sens, comme les yeux, servent de capteurs d’information sur notrcapteurse environnement. Le système vestibulaire (partie de l’oreille interne qui n’est pas dédiée à l’audition) contribue, quant à lui, à la sensation de mouvement et à l’équilibre. Ensemble, les capteurs proprioceptifs et les autres organes sensoriels adressent en permanence des signaux qui transitent par nos nerfs sensitifs vers notre moelle épinière, puis vers le cervelet et le cerveau qui les analyse. Selon les besoins de la situation, il réagit en contractant ou en relâchant certains muscles. Ainsi, nous n’attraperons pas de la même façon un objet lourd et volumineux, ou un objet petit et léger qui serait écrasé par notre main si notre geste ne s’adaptait pas à la situation !

La proprioception a la particularité de s’appuyer sur la plasticité du cerveau, sa capacité de réorganiser ses circuits neuronaux en fonction de ses ressources et des tâches qu’il doit accomplir.

Sous l’effet de l’apprentissage moteur, celui-ci crée constamment des connexions neuronales et chacune de nos actions modifie notre cerveau.

C’est pourquoi il faut de nombreuses répétitions pour renforcer les connexions, et c’est pourquoi la proprioception joue, au travers du mouvement, un rôle majeur dans l’élaboration du schéma corporel qui se construit très progressivement durant l’enfance :

  • Dans l’utérus maternel, le fœtus est contenu en flexion ce qui lui permet de tester sa proprioception au cours de mouvements vifs d’extension et d’enroulement. Le cerveau commence à prendre tout doucement le contrôle des mouvements.
  • Ensuite, le petit enfant développe son système proprioceptif en bougeant, il est donc essentiel de le laisser faire et même de l’encourager à bouger. Il reconnaît petit à petit les différentes parties de son corps et du corps de l’autre et vers 3 ans, il peut se représenter de manière grossière dans le dessin d’un bonhomme. Normalement, le schéma corporel ne se trouve achevé que vers 11-12 ans.
  • Par la suite, il est constamment mis à jour en fonction de nos actions et de ce que nous subissons,  comme un changement de poids, une poussée de croissance à l’adolescence, une blessure,etc.
  • L’apprentissage peut amener ce sens à des sommets, comme chez les danseurs professionnels ou lorsqu’un musicien joue sans regarder ses doigts.

Conclusion

La proprioception est partout et notre vie en dépend de manière cruciale. Elle est impliquée dans le contrôle postural, la précision et la coordination de nos mouvements, la localisation de nos organes sensoriels et par conséquent des informations sensorielles dans l’espace ;  elle joue donc un rôle majeur au sein la perception multisensorielle.

Une séance flash de 21 minutes.